Comment faire le tri quand on a vu plus de 1000 patchs et rapporté à peu prés autant de photos ???
Notre première expo a été celle du concours avec les broderies afghanes de Pascale Goldenberg.
Afin d'essayer de promouvoir l'utilisation des broderies en customisation, j'ai fait un livre textile que j'ai remis à Pascale.
Une dizaine de mes réalisations sont illustrés dans un livre à suspendre.
En espérant que cela pourra donner des idées à celles qui se disent : j'aime bien mais je ne vois pas ce que je pourrais en faire !
J'ai évidemment acheté quelques rectangles brodés pour... c'est une surprise.
J'ai trouvé qu'en matière de mise en bouche cette expo était particulièrement raffinée.
Le thème du concours était "Forest for ever".
Il s'agissait de faire un patch autour d'une feuille brodée par les femmes afghanes.
158 patchs ont été proposés, 60 devaient être retenus !
photos R.Levaché
Il y avait déjà beaucoup de monde à l'église Rosalie de Rombach, pas trop facile de prendre des photos avec les ombres portées mais c'est aussi grâce à ces difficultés que Roger ne s'ennuie pas à me suivre.
photos R.Levaché
Les petites maisons de Olivia Uffer ont évolué depuis que je les ai vu pour la première fois à la Bourboule, en s'enrichissant de peintures, céramiques, de multiples détails...
Son univers poétique est toujours un enchantement.
photos R.Levaché
Quelques patchs du concours de France-Patchwork et de la Japan Handi Craft Instructors Association, " Sur un air de dentelle de kimono " auquel j'ai participé.
sur un air de dentelle de kimono photos R.Levaché
Le bonheur, c'est aussi de rencontrer des copines au détour d'une allée !
photos R.Levaché
L'exposition de Inger Johannes m'a particulièrement interpellée.
Tout ce que j'aime y est rassemblé.
Le matière, le tissu de laine, les dégradés de couleurs très doux, la technique de couture à la main à bord cru, et les ouvrages gigantesques.
photos R.Levaché
Voici encore ce que j'aime dans le patchwork traditionnel, le travail de Liza Karlson depuis 20 ans.
Des patchs de 2x3m de couleurs assombries avec souvent un petit clin d’œil coloré, pas des tissus de coton "spécial patch", et la simplicité des blocs.
photos R.Levaché
Un patch restera gravé dans ma mémoire pour sa richesse esthétique et technique.
Beaucoup de piqué-libre qui me laisse rêveuse surtout quand il raconte des histoires.
Bientôt la suite avec les deux défilés de mode...
A ne manquer sous aucun prétexte.