expositions

Broder pour la paix, un message, un dessin ou une des 260 000 personnes assassinées, disparues ou déportées depuis 2005 au Mexique.

A la Bergerie de Sotteville sur mer, le collectif Fiber Art Fever! présente quelques uns de ses artistes.

Cela aurait mérité une seconde visite...

On peut tout voir en deux jours mais trois n'auraient pas été de trop pour prendre plus le temps de discuter, flâner et revoir.

Il y a des endroits où j'aime bien retourner une deuxième fois, plus tranquillement quand ce qui a été vu les premiers jours, s'est décanté un peu.

Je ne suis guère attirée par les espaces commerciaux mais beaucoup de créateurs et/ou artisans étaient présents et pas uniquement des revendeurs.

La qualité était au rendez-vous.

J'ai regretté de ne pas pouvoir y retourner après le défilé afin de mieux apprécier les vêtements.

Daniela Edburg, photographe, présente une partie de l'exposition "Mexican Contempory Textile art".

Masques au crochet en 3D ou 2D en tricot numérique.

De Paty Vilo 

Monica Iturribaria brode sur des mouchoirs l'actualité brulante de son pays, le Mexique.

L'archéologie de l'exil

Sylvie Kaptur-Gintz

Zina Katz raconte en brodant l'histoire de sa famille émigrée d'Allemagne.

Veules les roses est un écrin au milieu des roses.

Il y a des rosiers partout, en  massifs, le longs des trottoirs, sublime...

Contrairement à la Dordogne où l'apogée de leur floraison est finie, ils étaient encore superbes.

Des Serres du Val, où se trouvait exposées des sérigraphies sur lin et papier de la marque éco responsable Noé Paper, j'ai rapporté deux pieds de plantes aromatiques, une menthe citron qui est en fait une monarde et un origan hot.

Veules les roses est un écrin au milieu des roses.

Il y a des rosiers partout, en  massifs, le longs des trottoirs, sublime...

Contrairement à la Dordogne où l'apogée de leur floraison est finie, ils étaient encore superbes.

A la chapelle Saint Michel, Kapheine expose quelques une des ses créations dont une faite pour le festival que j'ai beaucoup aimé, à regarder aussi sur l'envers.

Elle dessine, peint, imprime, brode, coud...du drap de lin fatiguée, délaissé , usagé pour honorer le travail des lavandières.

Une petite graine a été semée entre Kapheine et moi, germera-t-elle un jour ?

Dans le même lieu, Isoline présente une série d’œuvres mettant en valeur du linge ancien en drap de lin, réalisé pour le Festival.

Il semblerait que pour Isoline, ces réalisations aient en plus, une valeur hautement symbolique

Cette petite chapelle avec ses deux niveaux façon mezzanine m'a fait rêver. 

Il y avait aussi des lieux d'expositions de tableaux, de photographies où la plantes lin dans tous ses états était mise à l'honneur.

A la Grange une installation intitulée "Pour une Edda des Baleines" de l'artiste scènographe-plasticienne Virginie Rochetti.

Pas envie d'avoir de photos car c'était une ambiance à écouter et ressentir.

Pour finir en beauté, la chapelle du château de Silleron.
 

Collectif de trois tisseuses de liens, Caroline Mc Avoy, Florence de Vries, FrançoiseDe Vito, De l'un à l'autre.

Je me suis imaginée, parcourant les allées du jardin en robe longue 1900, l'herbe était verte, les napperons blancs sous le soleil, un moment magique de notre séjour.

Ô temps suspend ton vol...

Nul doute que nous y retournerons.

J'ai adhéré à l'association Alliance et Culture.

Un grand merci aux 250 bénévoles, à Patrick Ouvry, le président et à Élodie Chuen-Douville pour leur accueil chaleureux.

Et le plaisir d'une rencontre fort sympathique, merci Martine et Daniel de nous avoir fait découvrir le boudin blanc aux graines de lin, entre autres moments de partage !

Je me dépêche de publier avant le défilé car ensuite il y aura d'autres photos tant attendues ! Je suis presque prête, la salle à manger est pleine de portants, boîtes spécialisés maquillage, retouches, essayages etc...

C'est Pierrette qui prends en charge les coiffures.

Les petits cadeaux de remerciements sont finis.

Très joli le Hameau de Flainville avec une exposition pleine de grâce dans la chapelle Saint-Julien.

Deux artistes, Sophie Domont, au Fil de la mémoire et Clo Dufilaretodre.

Roger a été bien inspiré vu le nombre de photos prises !

Avec le plaisir d'écouter à la sortie de la chapelle, un joueur de cornemuse juste avant de reprendre la route.

Belle exploitation des lieux et harmonie de l'ensemble.

Je n'ai pas vu des œuvres exposées mais un lieu apaisant de promenade intime, où matières, techniques et symboles se mêlent avec richesse sous le regard bienveillant des artistes..

A Saint Aubin sur mer, les ouvrages des membres de l'association Créatives et Culturelles de Touffreville-sur-Eu

dans une déclinaison de teintes très naturelles au sein d'une mise en scène tout en délicatesse.

Présentation des ouvrages du concours point de croix du Festival sur le thème... Partir, s'évader... Boucler malles et valises, larguer les amarres, s'envoler et Partir à la découverte...

A l'église de Saint Pierre le vieux, deux artistes hommes, James Hunting et Igor Brossman.

Là également jolie mise ne scène jouant avec les lumières des vitraux.

A la salle de la mairie de Saint-Pierre-le-Viger, Chantal Favier expose Ficelignes.

C'est très sympa, l'artiste utilise diverses matières, ficelle de lin, rotin, papier...mais aussi du métal, du bois, des graines.

Harmonie, douceur et féminité...

Salle Simone Weil, Stéphanie Michaud, Jours d'angles, techniques de jours à points comptés et tirés.

Sylvie Ludwiczak "Tisser, coudre, nouer, broder, assembler, tendre, chiffoner... manipuler pour écrire ses rêves."

A l'église de Saint Pierre Rebecca (!) Fabulatrice.

Je ne sais pas si c'est en accord avec ce que l'artiste a voulu évoquer mais j'ai trouvé cette exposition pleine d'humour décalé, je pense que l'on peut y voir plusieurs facettes mais c'est celle-ci que j'ai le plus ressentie.

à très bientôt pour suite et fin...

Comme nous l'avait conseillé Martine, nous n'avons pas manqué de visiter la Coopérative usine à Saint Pierre le Viger dés 8h30 afin d'optimiser au mieux nos deux jours !

Nous n'avons pas retenu tous les termes du traitement du chanvre, du semis au tissage ou autre utilisation comme paillis, litière, isolant.

Ils nous étaient pour la plus part inconnus, le rouissage, le teillage...nous allons suggérer qu'ils soient dans le dépliant du festival l'année prochaine !

La dernière partie du traitement de la fibre, qui était faite avant par les filatures, consiste à la peigner afin d'obtenir un ruban de fibre aussi douce que des cheveux.

De voir s'enrouler les rubans dans le bidon dégage une grande sensualité et donne envie de toucher, de plonger les mains dedans.

Effectivement, c'est à ne pas manquer.

Bien sûr, nous n'avons pas aimé pareillement toutes les expositions mais nous avons apprécié que les artistes présentent des œuvres réalisées spécialement pour le Festival et harmonisent la présentation avec les lieux.

La découvertes de ces lieux a été un ravissement avec de nombreuses petits chapelles, trop mignonnes.

De même que devant chaque lieu d'expo se trouvaient des bouquets, des brassées, des compostions à base de lin. Ravissant.

Nous avons aussi apprécié l’accueil simple et chaleureux des artistes, enthousiastes pour parler de leur travail.

On aime ou on n'aime pas mais on ne peut rester indifférent devant les œuvres de

Florence Gratien, présentées à l'église d'Iclon.

Dans l'église de la Chapelle-Dun, on pouvait voir les bojagis, on dit Po mais cela s'écrit Bo, et je ne sais pas si on mets un s au pluriel, de Marie Lee.

A la salle de la Mairie, France Boutis.

Quel bonheur de découvrir les photos d'un défilé de mode qui a eu lieu à Marseille et tout particulièrement la guêpière trop sexy, faite avec cette technique traditionnelle qui nécessite patience et rigueur. Quand on y ajoute de la fantaisie, j'adore !

A voir d'autres photos sur Facebook de Mimiboutis, la créatrice.

Au village de la Gaillarde, dentelles et blonde de Caen.

Désolée, je n'ai pas le nom de la créatrice de cette robe qui a aussi présenté des vêtements au défilé.

A l'église, Cité Mômes, la mode aux carrés, présentée par Mathilde Milot

A la chapelle Sainte Marguerite de la Gaillarde toile de lin et huile de lin.

Dans l'église du Bourg-dun, France-Patchwork propose 3 expositions.

Des patchworks anciens de Michel Perrier.

Je suis toujours charmée par les patchworks anciens, il s'en dégage quelque chose qui m’emmène en voyage, me laisse imaginer un morceau de leur histoire.

Les réalisations des jeunes Pousses, sur le thème Arc en ciel que nous avions pu découvrir à Sainte Marie aux Mines.

Ainsi que les sélections du concours Do, ré, mi, lin...

Il fallait réaliser une création de 1.30x0.80, toutes techniques à partir d'une chanson qui a marqué un moment important de notre vie, en y incluant un morceau de lin blanc, partiellement teint en ocre et argenté "designer" par Nani Iro pour Nunoya.

Celui de notre copine Brigitte Aufort, "Vamos à la playa" a eu le prix du jury, bravo Brigitte !

1er une "Chanson douce" de Claire Allier,

2ème prix du public "Le chanteur de jazz" de Michèle Fluck.

J'ai participé à ce concours avec "Rouille et Minium", m'inspirant de la chanson de Maxime Leforestier et la peinture au minium de plomb, remède souverain contre la rouille, d'après mon père...

Il a obtenu le 3ème prix du public, merci à tous.

Je me suis bien amusée à le faire avec une base de vieux drap rouillé, peinture, broderie main, piqué-libre, organza brulé.

En voici quelques uns parmi ceux qui m'ont plu.

Je ne suis guère attirée par les espaces commerciaux mais beaucoup de créateurs et/ou artisans étaient présents et pas uniquement des revendeurs.

La qualité était au rendez-vous.

J''ai regretté de ne pas pouvoir y retourner après le défilé afin de mieux apprécier les vêtements.

A bientôt pour la suite....

L'année dernière nous étions à Lacaze avec les princesses.

Le thème du week-end était "Zéro déchet".

Cette année sur le thème "Biodiversité & petites bébêtes", des nombreuses expositions sont proposées.

Afin de rejoindre au centre du village, vous allez devoir passer près de bébêtes très spectaculaires.

Près du pont, la ronde des poissons vous fera cligner des yeux.

De même, la pieuvre majestueuse agrippée au mur en pierre vous envoûtera avec ses tentacules. Une coccinelle géante vous donnera le bulletin météo (soleil assuré pour le week-end!!) et devrait ravir nos chères têtes blondes.

Sous l'auvent de la mairie, les pipistrelles devraient vous attirer pour une conversation.

Au château : laissez-vous guider par le long fil rouge de plus de 810 mètres réalisé par Cécile Milhau et ses amies. Il vous mènera au 2ème étage admirer l'exposition de Nadine Vergues.

Au temple : vous pourrez vous détendre au rez-de-chaussée en lorgnant des patchworks plus beaux les uns que les autres, et cette année, nouveauté sur la mezzanine, quelques créations au point de croix.

A l'église, nouveau lieu d'expo : des patchs traditionnels rappelleront aux piquées du fil les fondamentaux de cet art.

Dans la cour de l'école (ou une salle de l'école) laissez-vous faire faire le portrait par Danièle Medina, un atelier de confection et démonstration de mouches de pêche vous attirera, et un marché solidaire devrait vous enchanter.

 

Si vous vous déplacez pour la journée, pensez à réserver au restaurant du camping si vous le souhaitez ou à porter vos déjeuners à déguster près de la rivière au frais !
Il reste des places disponibles pour le marché solidaire.

Faites-vous connaître en téléphonant à Cécile Milhau au 05.63.71.76.30.

Emplacement gratuit

Pour ceux qui ne connaissent pas, les "valises" sont des créations de petits formats réalisées par les membres d'une délégation France-Patchwork à partir d'un thème.

Elles sont ensuite amenées à voyager pendant deux ans à disposition des autres délégations.

Elles sont exposées au cours des JA ou d'un autre événement organisé par France-Patchwork.

A Périgueux, nous avons eu la chance de pouvoir admirer celle de Cercle et compagnie d'Arvern Patch, d'une grande qualité.

Un vrai travail de recherche, des ouvrages soignés.

Une belle unité malgré la diversité.

En voici quelques uns.

L'équipe de Marie-Claude Sanchez -déléguée France-Patchwork Dordogne jusqu'en décembre 2018, remplacée depuis par Marie-Line Vial- a eu la super idée de proposer un travail à partir de sacs à jambon récupérés par Isabelle.

Ils étaient tous plus ou moins rapiécés avec de petits carrés de tissus qui pouvaient servir de base.

Le thème était libre, recto-verso ou pas.

Marie-Jo, Martine, Danielle et Jeanne en ont fait un chacune, j'en ai fait deux.

Beaucoup de copines ont été inspiré par le cochon et ont replacé les sacs dans le contexte  !

Agréable séjour que ces quelques jours passés à Espelette.

Au programme, exposition, broderie, retrouvailles de copines, escalade et randonnée, et aussi un peu de gastronomie bien sûr...

Nous sommes repartis juste avant la pluie et le froid qui ont gâché un peu la Fête du piment.

Le thème de l'exposition était la musique.

Comme l'année dernière pour l'écriture, un véritable travail de recherche est fait à la découverte d' instruments qui nous sont inconnus.

Variations autour de Pierre et la loup.

Des instruments réalisés en 3D.

Chaque année, des carrés de 30x30cm sont réalisés d'une seule couleur.

Après le bleu, c'est le orange qui a été mis à l'honneur.

Piqué-libre sur des tissus teints avec la neige.

Pas d'expo rèussi sans ce moment convivial du vernissage !

L'Orgue à Patch inventé par Roger a eu beaucoup de succès.

A partir d'un jeu musical pour enfant, récupéré à la déchèterie, Roger a imaginé de faire comme un orgue de barbarie.

Quatre cartons de 10 pages chacuns ont été réalisés.

Sur le thème des chansons "une souris verte" et "les champignons" d'Anne Sylvestre par le groupe d'Espelette.

Un carton a été fait par le groupe de Vélines.

Un carton "Le piano pour tous" par Agathe et moi.

Merci à Robin et Apolline, petits visiteurs de passage, qui ont tourné la manivelle avec beaucoup d'application !

Un grand merci à Pierrette, Marie et Hélène !

La Fête du piment et l'exposition d'art textile des copines d'Espelette, c'est bientôt ...

Pour coupler les plaisirs, un voyage s'impose.

Voir ou revoir les éditions précédentes

 2015

2017

Déjà avant l'ouverture Lisette et moi avons pris grand plaisir à installer l'exposition.

De la découverte des œuvres à leur mise en place....

Jeudi soir, le vernissage a été un moment chaleureux, au propre et au figuré, l'été continue !

Plus de 40 personnes sont venus admirer les 40 créations, découvrir l'histoire de cette aventure textile et humaine.

Et acheter des carrés, boutons, yeux...

Beaucoup d'animation pour chercher les initiales des personnes aimées !

Le J de Jeanne, le Z de Zoé, M de Madeleine, le B de Balthazar ...

photo C.Crouzel

Nous avions opté pour un buffet inspiré d’Afghanistan, pas d'alcool mais des thés verts et noirs parfumés, pas de cacahouètes mais des pois chiches grillés aux épices, pas de chips mais des fruits secs et des légumes sous forme de soupes froides de courgettes.

Ainsi que du gâteau rot, subtilement parfumé à la cardamome.

Les petites jujubes du Périgord, originaires de Chine ont été fort appréciées.

Le jujubier m'avait été offert par une copine habitant en Corse, il y a une quinzaine d'année.

Il a fait de nombreux rejetons qui iront épanouir dans d'autres jardins de Saint Cyprien cet automne.

Toutes les recettes seront données dans un nouvel article.

Hier, nous nous sommes retrouvés pour réaliser oiseaux et bijoux.

Lieu d'échange vivant avec la visite des copines du nord et de l’ouest de la Dordogne.

Rendez vous samedi prochain de 14 à 16h pour une nouvelle séance.

Ce sera le dernier jour de l'exposition, fermeture à 16h.

De retour de Sainte Marie où nous avons passé quatre jours.

Pour prendre le temps de voir tout tranquillement, discuter avec les artistes, les copines rencontrées et les autres, il faut bien 4 jours.

Nous avons pris beaucoup de plaisir à voir les vêtements réalisés par Marty Ornish, artiste américaine.

Elle réussit à donner de l'élégance à des vêtements faits avec de vieux quilts complétement en loques mais qui sont pour elle de vrais trésors.

J'adore.

La veille, Marty avait été interpellée par ma jupe lors de la dégustation de vin au camping (il faut bien rentabiliser un si long voyage !), c'est à partir de cela que la discussion s'est engagée.
 

Une femme pétillante et enthousiaste, toute à fait charmante.

Nous devons faire appel à notre mémoire profonde pour retrouver nos bases d'anglais mais avec l'aide d'autres visiteurs, nous arrivons à nous comprendre.

Chaque vêtement a une histoire, comme celle de la tenue en crazy, patchwork découvert dans une poubelle par des amis de Marty qui l'ont de suite appelé pour lui dire qu'il y avait une urgence !

Les photos exposées sont de Sharon Avraham, originaire d’Israël, qui mettent bien en valeur le travail de Marty Ornish.

Cela va me motiver pour faire quelques choses avec les trois caracos 1900, achetés au Musée de la Mode à Albi.

Je ne voyais pas comment les exploiter mais je pense que les idées vont surgirent quand je vais les ressortir de l'armoire !

La Félibrée a eu lieu fin juin début juillet.

Mais la décoration de la ville est toujours en place pour le plus grand bonheur des touristes.

Nombreux regrettent d'avoir loupé cette fête.

L'Atelier Point et Patch a présenté son ultime exposition.

Des châles, indispensables au costume féminin ont trouvé leur place au sein de cette fête.

Nous avons « revisité » cet accessoire de mode alliant utilité et futilité, qui trouve encore sa place au XXI siècle,

A partir de techniques aussi  variées que la couture, le tricot, le crochet, la broderie main et machine mais aussi la peinture, le brûlage de textile, le perlage, le feutrage.

A l’aide d’aiguilles, de crochets mais aussi fer à souder, décapeur thermique, embosseur, plastique bulle…

Nous avons utilisé de la laine, du tissu, des fils de soie, de coton mais aussi des poils de chien, de la poudre à embosser, des perles, des peintures acryliques, des pastels, du savon…

A l’aide d’aiguilles, de crochets mais aussi fer à souder, décapeur thermique, embosseur, plastique bulle…

Nous avons utilisé de la laine, du tissu, des fils de soie, de coton mais aussi des poils de chien, de la poudre à embosser, des perles, des peintures acryliques, des pastels, du savon…